Valérie du Chéné develops her practice of painting, installation, volume and drawing around three major topics: colour, our relationship to others, and the way in which we experience space.
Her work, which she presents both on a large scale (in exhibition spaces and in the public space in the form of wall paintings or installations) and in more intimate expressions, such as drawings, gouaches or objects, embraces a variety of configurations in which language happens to be a constant yet discreet presence.
Toujours solaire, exposition Angle art contemporain, Saint-Paul-Trois-Châteaux, 2020
Un ciel couleur laser rose fuchsia, un film de Valérie du Chéné et Régis Pinault
C’est l’histoire d’un millefeuille, une ville frontalière avec l’Espagne dont l’écartement des rails est différent, Cerbère. De haut en bas, le fantôme est l’Hôtel Belvédère du rayon vert à l’époque des transbordeuses d’oranges. Une mélodie à trois notes sort mystérieusement de la rambarde métallique surplombant la mer, le chant des sirènes. La mémoire collective peut parfois se transformer en mythologie. Les scènettes enchâssées les unes dans les autres, telles des poupées russes suscitent un suspens de pierres. Il est intéressant de voir comment on se débrouille pour traverser cette forêt Amazonienne. Et patati et patata.
En mains propres
Lieux dits, exposition, Chapelle Saint Jacques, Centre d’art contemporain, Saint Gaudens, 2011
C’est (…) sans à priori que Valérie du Chéné, pour chacun de ses projets, analyse des faits de son quotidien, essayant de trouver une logique à leurs fonctionnements. C’est avec une grande liberté qu’elle élabore des rencontres prenant la forme de protocoles qu’elle allie à sa pratique du béton et du graphisme.
Valérie Mazouin, extrait