Valérie du Chéné

Valérie du Chéné, Mirage, 2007, 1% artistique Collège Marcelin Albert de St Nazaire d’Aude, bétons, peinture acrylique, résine polyuréthane, paravents 165 x 780 x 20 cm, dalle 170 m², production Conseil Général de l’Aude
Œuvres dans l’espace public
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Valérie du Chéné, Mirage, 2007, 1% artistique Collège Marcelin Albert de St Nazaire d’Aude, bétons, peinture acrylique, résine polyuréthane, paravents 165 x 780 x 20 cm, dalle 170 m², production Conseil Général de l’Aude
Pimp my mountain, 2021, marbre Grand Antique d’Aubert, céramique, 1% artistique Lycée de Cazères
A riveder le stelle, 1998, lettres en néon blanc, supports et habillage inox, 50 m de haut, pylône radioélectrique de Felletin, commande publique Ville de Felletin
237, 2021, pigment noir de mars, liant acrylique, 7 m x 6 m, Passage Raymond VI, Toulouse
Sans titre, 2017, pigment et liant acrylique sur mur, 11 m x 5,50 m
La créature du lac, 2020, pigment et liant acrylique sur mur, 9 m x 7,40 m, lac de L’Isle Jourdain
Signal, 2021, installation, Maison Salvan, Labège
Air(e)s de repos et éclats de paysage, 2015, bois peint, résine, roches naturelles extraites in situ, acrylique
Les Absorbeuses, 2016, 10 pierres peintes immergées, acrylique sur calcaire, basalte et schiste, sentier sous-marin de la baie de Cerbère
2021
Pigment noir de mars, liant acrylique
7 m x 6 m
Liaison piétonne Jardin Raymond VI - Hôpital La Grave, Toulouse
Dans le cadre de Sur les cendres de l’hacienda, Festival Le Printemps de septembre, Toulouse, commissariat Christian Bernard
237, 2021, pigment noir de mars, liant acrylique, 7 m x 6 m, Passage Raymond VI, Toulouse
237, 2021, pigment noir de mars, liant acrylique, 7 m x 6 m, Passage Raymond VI, Toulouse
237, 2021, pigment noir de mars, liant acrylique, 7 m x 6 m, Passage Raymond VI, Toulouse
Cette œuvre est installée sur le site d’une ancienne menuiserie, qui est une percée dans le mur d’enceinte de l’Hôpital La Grave. La maçonnerie, faite de briquettes rouges, évoque les cellules d’un épiderme perméable à son environnement comme cette œuvre faisant écho aux lieux qui l’entourent : le jardin Raymond VI, le Musée FRAC Les Abattoirs Occitanie Toulouse et l’Hôpital La Grave. Deux silhouettes humaines sont inclinées sur un végétal au centre de la composition. L’un des corps est pourvu de longues terminaisons sensorielles visuelles ressemblant à des stéthoscopes. L’autre radiographié est suggéré par des vertèbres et des viscères prolongées par les racines d’une tige épineuse et flexible. Un bouton de fleur rayonnant fusionne avec sa tête. Cette allégorie évoque la relation entre la nature, l’homme et le soignant où le diagnostic et la pharmacopée forment un tout.