Pour une poésie du quotidien.
Camille Bardin
La pièce est plongée dans l’obscurité. Un mélange d’eau et de fluorescéine excité par des rayons ultra-violets crée l’unique source de lumière qui s’extirpe progressivement d’un épais glaçon que la température et le temps liquéfient. Au gré des aspérités du sol et à mesure que les heures s’écoulent, une étendue d’eau se dessine et envahit lentement l’espace d’exposition.
Extrait, retrouvez le texte de Camille Bardin en entier sur le site de l’YACI - international young art criticism