Anne Deguelle
Diary - Mansart, 2015, éléments naturels et manufacturés, dessins, néon, plâtre, verre, bois, papier, carton, 1000 x 300 cm, vue d’exposition 8+/-2, commissariat Azad Asifovich, Galerie Mansart, Paris, 2016
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Nicolas Puyjalon
Coeur Corail, Saison 1 Épisode 1, 2019, performance, en duo avec Estelle Vernay, photo Régis Baudoin
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Agnès Fornells
Hecho en México, 2016, ensemble de trois double-textes espagnol/français, 40x30 cm
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Agnès Fornells
Le poids d’un sac léger, 2006, tampons sur papier de soie pour cerf-volant
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Anne Deguelle
To sleep to dream no more, 2010, vidéo, 4’44, couleur, projection sur tapis oriental
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Anne Deguelle
Poignée, 2008, verre , métal, boite en carton 33 x 26 x 6,5 cm
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Marion Mounic
L’amour n’est pas un crime, 2022, peinture murale, henné, colle à papier peint, photo Cyril Boixel
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Emmanuel Simon
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Audrey Martin
Darkness, 2017, impressions offset et estampe sur papier occultant, aimants, 63 x 90 cm chaque
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Audrey Martin
Global Damages, 2013, dispositif, impression numérique sur papier Trucard, dimensions variables
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Rémi Groussin
Vostfr, 2017, installation, sous-titres contrecollés sur plaques de verre et miroirs, châssis en acier, 200 x 200 cm
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Lucie Laflorentie
Strata and Dust Memory, 2019, gravure murale, enduit, pigments
Anne Deguelle To sleep to dream no more
2010
Vidéo
4’44
Couleur
Projection sur tapis oriental
To sleep to dream no more, 2010, vidéo, 4’44, couleur, projection sur tapis oriental
Sur le divan de Freud, les motifs du tapis quashq’ai délimitent le territoire du rêve : jardin avec fleurs, bassins, paons et petits animaux… Il mute en fenêtre cosmique étoilée, réceptacle des rêves des dormeurs. Dans sa trame s’ensevelissent des endormis en transit dans les aéroports, les bus et autres lieux d’attente ou d’errance.
Projetée sur un tapis oriental, la vidéo superpose le mouvement des trames des motifs évoquant la complexité des méandres des rêves.
