Le plus dur reste à venir

2018 - en cours

Protocole d’archivage de performances, congélation de vêtements de performances, dimensions variables

À l’instar de la série Insolation des vestiges, j’experimente, dans cette série, une méthodologie me permettant de conserver les traces des performances.
Ici, les vêtements sont congelés et ainsi conservés figés pour être, regulièrement, liberés de leur carapace de glace et reactivés lors de performances.

Les vêtements pris dans la glace ont également fait l’objet d’un travail de recherche et d’archivage mené dans un contexte naturel, documenté dans le deuxième ensemble d’images. Grâce aux témpératures plus rigides, j’ai pu maîtriser plus facilement la fusion de la glace et, en même temps, convoquer à nouveau le corps dans une expérience d’effort et d’inconfort.

Dans l’ordre d’apparition du premier diaporama, les glaçons contiennent les traces des performances suivantes :

- performance Glacial, 2017

- performance Daniel(s) et moi, 300g/416g (glaçon mauve et glaçon noir), 2017

- performance Io non sono il tuo mare, 2012

- performance Déraisonnable, 2022

- performance Échec, 2018

- performance Multiprise, 2018

- performance La tempête après le calme, 2019

- performance La traversée, 2018

- performance La tempête après le calme, 2019

- performance Je reviendrai bientôt, 2015

Le plus dur reste à venir, 2021, série de photographies, 29,7 x 42 cm

Le plus dur reste à venir, 2019, vue de l’exposition collective Presque Rien, CIAM La Fabrique, Toulouse, 2019

Le plus dur reste à venir, 2023, étapes de recherche