Réalisation

2019

Montage de l'exposition J'ai tout de suite l'image en tête

Tixador et Poincheval : ils étaient venus depuis Paris par voie navigable en bateau gonflable. Le bateau est resté exposé dans la piscine durant le festival.


Lucie Laflorentie : œuvre avec le doré. Un cadre pour encadrer le paysage. Maison d’un menuisier qui venait de mourir. Il y avait encore des machines, elle a doré certaines parties. Des pans de mur, des outils, très émouvant.


Guislaine et Jean-Yves ont accueilli il y a deux ans Chloé Mathiez. L’artiste passait ses journées assise sur une chaise à dessiner la nature en stylo bic sur papier machine. Elle partait d’un angle et ça se développait sur sa feuille. Matériaux peu cher. Elle en a fait un livret, correspondance entre les dessins et un texte que son mari a écrit.


François Chaignaud : installation, une chevelure d’ange, il passait la tête par une meurtrière. Il chantait la chanson En chantant. Il y avait un grand contraste entre l’ange qui chantait et le coté délabré.


L’an dernier vieil atelier avec des machines, l’artiste a mis du doré sur des objets présents. Des étais dorés pour soutenir les branches d’un arbre.


Famille Puech : 2017 accueil de Emma Dusong, revue deux fois. « très intéressant, belle recontre ». Sur la terrasse, une pièce noire avec une bande qui faisait un film. Questionnaire 36 minutes. Amenait à la réflexion. Enregistrement qui était diffusé. « très touchant ». Que des questions dans l’enregistrement. Son père avait peur des questions. « liberté de faire, de penser »


Une œuvre à la sortie du village. Petit pavillon complètement emballé dans des bâches vertes. Ce n’étais pas ça l’œuvre. Dans la maison il y avait des vidéos qui prenaient toute la pièce. Projetés sur le lit.


Une artiste femme grecque écrit sur les tilleuls devant l’église.


Avec la poussière des aspirateurs il fait des oiseaux. C’était exposé dans un salon vide.


Une performance de Mathieu Beauséjour durant laquelle il est habillé en banquier. Il reconstitue des billets de banque canadiens. Tous les quart d’heure il diffuse deux minutes de son de manifestations


Il y a quelques années, on arrive sous les combles. Atmosphère enfumée à Fiac, dans une coloc en bas du village.


Une artiste qui propose des lectures de textes qu’elle a écrit. Elle est assise, on s’assied avec elle et elle lit.


À Tessode une grande tranchée creusée dans le jardin. Plus on avance plus c’est profond. On a l’herbe à hauteur des yeux. Le soir il n’y a pas de lumière, juste les étoiles.


Un petit pavillon emballé dans une bâche verte à la sortie du village. Dans la maison une vidéo est projetée sur le lit. C’est un rituel funéraire de Sardaigne.


Dans l’ancienne épicerie. La locataire accepte que les artistes peignent sans demander à la propriétaire.


Mehdi a fait une performance le soir du vernissage. Il a fait un couscous puis il a mis des talons et s’est baladé autour des tables


Je me souviens d’un enregistrement sonore de vaches qui est diffusé dans le domaine. Le son tourne dans un grand champ vide, les diffuseurs sont cachés, on voit rien. Il y a encore l’odeur des vaches. Il y a tout sauf les vaches.


Il y avait une bagnole suspendue avec la portière ouverte et le son de l’autoradio à fond. Elle était en bon état et les attaches étaient invisibles.


Vues du montage